Les médias

(Photo : CIRIC)

Les Assomptionnistes possèdent et animent " BAYARD ", une des plus grandes entreprises de presse multimédia catholique du monde qui a des antennes dans une dizaine de pays et qui se développe actuellement en Asie.

BAYARD est un réseau international de créations, d’information et de services constitué d’équipes de journalistes, d’éditeurs, de concepteurs de contenus papier, numériques et audiovisuels. Il rejoint plus de 30 millions de personnes à travers le monde, dont 5 millions d’abonnés.

C’est Bayard qui édite le seul quotidien catholique de France : LA CROIX.

Cette entreprise a une position de leader dans la presse jeune, la presse explicitement catholique et une place importante dans la presse senior. Les publications du Groupe Bayard promeuvent une information qui aide à la formation des consciences et des intelligences.

Elles veulent être une voix chrétienne dans le concert des cultures et veulent apporter aux chrétiens une nourriture pour leur foi.

Nos publications se donnent pour but:

  • L'éducation de la foi chez les adultes.
  • L'éveil religieux chez les enfants et adolescents, ainsi elles coopèrent à l'évangélisation.

Parmi les différents titres du groupe Bayard les assomptionnistes travaillent, notamment, à :

NOTRE MISSION

Depuis le temps des fondateurs, l’Assomption sert la transformation sociale par les valeurs de l’Evangile en référence à Jésus-Christ. Ainsi se sont développés, dans les pays où nos congrégations se sont installées, des établissements scolaires, des instituts d’enseignement supérieur, des instituts de recherche (des études byzantines et des études augustiniennes) et des œuvres de médias.

Aujourd’hui, la société est marquée à la fois par la mobilité (migrations, échanges culturels, mondialisation des rapports sociaux amplifiée par une révolution numérique qui bouleverse le paysage médiatique) et par la fragilité (nouveaux schémas familiaux, équilibre écologique menacé). Dans ce contexte mouvant, le défi pour l’Assomption est de contribuer à ouvrir un espace vital durable qui rende possible pour nos contemporains la recherche de sens.

Dans le monde occidental, la sécularisation et l’indifférence religieuse nous invitent à entrer dans un nouvel espace de dialogue que le pape Benoît XVI appelle le « Parvis des Gentils ». Cet espace ouvert ne se limite pas au champ du religieux ; il invite au dialogue avec tous ceux qui désirent découvrir du sens à l’existence. L’Assomption, en sa mission d’éducation et de communication, participe à ce mouvement en allant à la rencontre de tous. Dans un flot continu d’informations et de savoirs, les projets éducatifs et les offres éditoriales doivent permettre une prise de distance indispensable pour trouver des raisons de vivre et d’agir selon ce qui nous anime au plus intime de nous-mêmes.

Eduquer et communiquer à l’Assomption, c’est susciter la créativité, l’expression personnelle, la parole qui construit. C’est prendre en compte les différents aspects de la personnalité et laisser à chacun le temps de faire le lien entre les connaissances qu’il acquiert. Autant de manières d’encourager humblement le désir sans prétendre le saisir. Autant de manières d’encourager un agir qui ose s’ouvrir à l’autre.

Eduquer et communiquer à l’Assomption, c’est donc prendre en considération ce qui anime chaque personne, lui donner l’espace nécessaire à son expression pour qu’elle aboutisse à un engagement. La relation éducative et celle d’un média avec ses publics, par les interrogations et les convictions partagées, permettent à la personne d’écrire sa destinée. Celle-ci, par le fait même, peut s’ouvrir au transcendant. Ainsi, avec tous ceux qui portent ces finalités, nous pourrons continuer à créer ensemble les conditions pour que la question de l’essentiel, qui peut aller jusqu’à la question de Dieu, et le désir d’humanité trouvent le chemin des mots. Et, ce faisant, donner à nos contemporains de servir le bien commun.

P. Benoît Grière, aa., Supérieur Général et les membres du 32e Chapitre général des Augustins de l’Assomption. A Rome, le 22 mai 2011